Les articles par secteur d'activité : Service

Pas de calais habitat

Se définissant comme « opérateur urbain », Pas-de-Calais habitat a le statut d’Office Public de l’Habitat. Dépendant du Conseil Général du Pas-de-Calais, sa compétence géographique s’étend à l’ensemble du département (excepté les communes de Calais et Boulogne qui disposent chacune d’un Office Municipal). Bailleur social de près de 39 000 logements et de 867 salariés, Pas-de-Calais habitat a inscrit la prévention de la pénibilité au travail dans son dialogue social. Et cela, avant que la loi en fasse une obligation pour les entreprises de plus de 50 salariés.

(Publié dans le N°16 : Nouvelles obligations dès 2012) le 09/12/2011

ADAR Flandres Métropole

A l’ADAR Flandre métropole, l’absentéisme a déjà représenté 14 000 jours par an, pour 900 salariés…
La direction a décidé de regarder la réalité en face : la pénibilité du travail en est peutêtre une des raisons. L’activité de cette association sans but lucratif est l’aide à domicile. Elle assure ce service auprès de 6000 personnes. La plupart de ces personnes sont âgées. En dialogue avec les salariés, en particulier au niveau du CHSCT, un projet de prévention s’est mis en place dès 2010. Il associe de nombreux acteurs, tant en interne qu’en externe.

(Publié dans le N°15 : 50 ans... et alors ?) le 28/10/2011

Apei henin-carvin

Comment inciter le personnel d’une entreprise adaptée, à porter systématiquement les équipements de protection individuelle (EPI) ? L’entreprise adaptée de Courrières (Apei Henin-Carvin), spécialisée dans les espaces verts, a trouvé une solution : doter chaque salarié d’une sacoche personnelle contenant les EPI nécessaires à son activité et d’un casier pour les ranger dans son vestiaire. Ainsi, chacun peut les retrouver facilement au moment de commencer sa journée de travail.

(Publié dans le N°14 : L'obligation de reclassement) le 15/07/2011

Résidence Fontaine Médicis

Maison de retraite médicalisée, « La résidence Fontaine Médicis » est implantée à Cucq, sur le littoral de la Manche. Rattaché au groupe DVD (comme Domus Vi-Dolcea), cet établissement compte 40 salariés. Au cours d’une visite médicale, le docteur Elisabeth Ducarme, de la Santé au Travail de Calais- Boulogne-Le Touquet (A.S.T.I.L. 62) diagnostique une tendinite chez une lingère.

(Publié dans le N°14 : L'obligation de reclassement) le 15/07/2011

François-Yves Jolibois Directeur de JADE, Accès difficile

En 1998, à l’âge de 25 ans, François-Yves Jolibois a créé « JADE, Accès Difficile ». Sportif et entrepreneur dans l’âme, il a su allier sa passion (l’escalade) et le travail (travaux du bâtiment). Son parcours est étonnant. Son discours est carré. L’homme est avant tout un animateur d’équipe, soucieux de la performance collective et de la réussite individuelle. Son métier : la du risque.

(Publié dans le N°14 : L'obligation de reclassement) le 15/07/2011

CFA de la Capelle

Depuis 2005, 200 garagistes de l’Aisne ont reçu la visite d’un Intervenant Santé Travail. Dans le cadre de ses missions, le médecin du travail doit établir la fiche d’entreprise, dans laquelle sont identifiés les risques auxquels sont exposés les salariés. En fait, rien de plus normal ! Mais, cette année là, le Service de Santé au Travail de Saint Quentin (MTA) avait décidé de faire une approche d’ensemble des garages. Or, dans les garages, il y a des apprentis.

(Publié dans le N°14 : L'obligation de reclassement) le 15/07/2011

CAS de Conteville-les-boulognes

« Les salariés de mon établissement bénéficient des mesures de prévention et sécurité comme tout travailleur », constate Patrick Caudoux, directeur du Centre d’Accueil et de Soins (C.A.S.) de Conteville-les-Boulogne. « Cependant, les usagers handicapés sont exposés aux mêmes risques dans les ateliers. Comment les protéger eux aussi ? »

(Publié dans le N°13 : L'etiquette nous parle) le 29/03/2011

Korian Samorabriva

Les soins demandent une attention de chaque instant. Notamment en maison de retraite. Il faut faire preuve de disponibilité sur le plan humain. Il faut également faire beaucoup de « manutentions ». En effet, les « malades à faible mobilité » doivent être mobilisés par le personnel soignant. Et là, un accompagnement est possible. Voire nécessaire. La preuve avec la Santé au Travail d’Amiens et la maison de retraite KORIAN-SAMORABRIVA.

(Publié dans le N°13 : L'etiquette nous parle) le 29/03/2011

Mairie

Travailler dans une atmosphère bruyante est le lot de nombreux salariés. Mais lorsque les décibels deviennent une nuisance quotidienne pour les travailleurs, il convient d’en mesurer l’impact et de mettre en place des actions correctrices. Focus sur une mairie qui a travaillé avec l’ASTIL 62 pour une sensibilisation au coeur des métiers.

(Publié dans le N°11 : Bien au boulot, bien dans ma vie ? ) le 23/12/2010

Le Relais

Qui ne connaît pas les bennes blanches, marquées de bleu, avec un nom : LE RELAIS. Chacun comprend la signification de ce nom. Les vêtements, que l’on ne porte plus, sont utiles… pour d’autres ! Et LE RELAIS de collecter ainsi nos vieux habits. Plusieurs tonnes par an. Et de les trier, chaque jour, un par un. Et de les réorienter : revente ou recyclage. Le personnel, qui effectue ce travail, est en situation de précarité. L’autre but du RELAIS, entreprise à but non lucratif, est de donner une chance de réinsertion à des personnes en difficulté.

(Publié dans le N°11 : Bien au boulot, bien dans ma vie ? ) le 23/12/2010